mardi 25 décembre 2012

From the wonderfull Kingdom of Bones-Land.

Je viens de bien me casser des couilles que je n'ai malheureusement pas pour faire un joli design à ce blog.
Voila.
Maintenant c'est fait.

Je dirais ensuite que, dans la mesure où c'est moi qui me suis farcie le design de la bête, les remarques acerbes sur la beauté photoshoppesques des images qui vont suivre sont complètement irrecevables.




(Bowie's seal of approval.)

Bien, je me disais que, Cool, l'ouverture d'un royaume virtuel complètement débile et mégalomane.
C'est tout moi dans mes grandes oeuvres.

Seulement, un royaume sans sujet, ce n'est pas vraiment un royaume, et en mon statu de Queen Of Bones, je me dois de régner d'une main leste sur tout le petit monde qui habite ce vaaaaaaaste territoire.

Présentation des sujets, donc.
Tatan. 
(suspense insoutenable, tambours et trompettes.)
(cotillons.)

Alors, tout d'abord, il y a la famille royale.
La Furry Family, de son auguste nom.
On Commence par la Mère des monstres:


 Bon, en vérité, c'est juste mon chat.
Mais mon chat lit Kant, et kiffe Nietzsche.
C'est aussi "La mère des Monstres."
(Et c'est là qu'un éclair déchire le ciel. Tout ça. Avec fracas.)




Banshee, Monstre numéro un.
Un monstre femelle.
Très agressif.
A côté, Cthulhu est un  poussin sorti de l'oeuf.
On peut facilement l'amadouer avec du Thon cela dit.












Monstre numéro deux:
Thor.
Mighty Thor god of Thunder and Meows.

Des fois, il est cool.
D'autres fois.
Je sais pas.
C'est comme un cyclone qui passerait simultanément dans toutes les pièces de la maison.
Mais sinon, il est mignon.
Enfin.
Je crois.




(Comme je l'avais promis, ces images sont de toute beauté. J'espère que vos rétines pleurent bien, là.)

Voila.
Nous avons bien d'autres habitants ici, dans ce royaume merveilleux et magique, et plein de squelettes de licornes à paillette, mais je galère un peu avec ma mise en page, là, ça fait deux ans que j'ai pas touché à cette plateforme.

Plus tard, je vous ferais un texte constructif sur plein de trucs qui m'indignent.
Sur ce qui pousse les braves gens comme moi à inventer un monde imaginaire peuplés de chats, de homards à moustaches, et de poneys zombies.

Mais là, j'ai "bouffe" inscrit sur mon programme.

(Et je viens de m’apercevoir que je ne sais pas dire au revoir sur un blog ou on parle de sa vie.)
(merde.)
(éclipsons nous discrètement...)





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